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L'HOMME A LA TETE DE LION

Création BD-Concert 2023-24

CONTACT :

DOMINIQUE TRENTO

Chargé de Production

Téléphone : +33 (0)6 23 39 32 01

Email : dom@larouteproductions.com

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, CREATION 2024 à partir de 14 ans

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Du BD-CONCERT "standard" ( version 1 de 2022 ) vers une création ( V2) en 2023-24 qui renouvelle le genre 
 

Après le succès de Come Prima, Splendor in the Grass propose un nouveau projet intitulé « L'HOMME à LA TETE DE LION » qui s’appuie sur l’œuvre de l'auteur Xavier Coste,

auteur du prix FNAC - BD INTER 2022 avec son adaptation "1984" de Georges Orwell.

 

DISTRIBUTION (en cours)

Mise en Scène : Renaud Cojo
Direction artistique : Arnaud Rouquier-Perret (Splendor in the grass)
Comédien : Jean-François Toulouse
Scénographie : Eric Charbeau et Philippe Casaban
Musique Originale : Splendor in the Grass (Come Prima …)
Création Lumière : en cours

Création Son : Jeff Poupet
Création vidéo : Geoffroy Groult (Grand Angle productions)

Nous sommes à la recherche de salle partenaires en coproduction et/ou en accueil résidence sur la période de septembre 2023 à janvier 2024.

L'HISTOIRE

L'HOMME A LA TETE DE LION ( sortie nationale : 24 août 2022) 
Du fauve ou de l’homme moderne, qui est le plus féroce ?

On dit que le bonheur est une vocation. Celle d’Hector Bibrowski, né dans un cirque à la fin du XIXe avec des poils recouvrant tout son visage, ne le rend pas heureux, mais il ne l’a pas choisie. Comme son père avant lui, il fera la tournée des villes européennes en compagnie d’avaleurs de sabre, de soeurs siamoises, d’hommes-troncs et autres bêtes de foire. Mais tout le monde n’a d’yeux que pour « l’homme à la tête de lion » qui, derrière son visage sauvage, est passionné de littérature et capable de converser comme le plus instruit des gentlemen. Bientôt, l’opportunité d’intégrer le plus grand cirque des États-Unis l’emmène dans le moderne New York où s’élèvent les gratte-ciels et les ambitions démesurées des hommes.

Dans ce monde qui a perdu toute échelle humaine et qui connaît les premiers balbutiements du cinéma, l’homme-lion restera-t-il le roi du spectacle ?

PRESSE
Le Monde
"hybride entre la bande dessinée, et la peinture, cette fable bouleversante dans l'univers du cirque du 19e siècle explore avec finesse la fragilité animale"  

Télérama  TTT
"Fluide, élliptique et graphiquement épatante, sa narration ..évoque moins la BD que le texte illustré."

France Inter - le Pod Cast : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/bulles-de-bd/bulles-de-bd-du-mercredi-31-aout-2022-9780447

NOTE D'INTENTION 

À travers l’épopée humaniste d’Hector Bibrowski dont l’intensité des images et la partition musicale développent une narration sensible, le travail du metteur en scène doit être soucieux du dialogue organique entres les pratiques afin de proposer également un voyage au spectateur.trice. 

Ce voyage, aussi intense qu’il soit, doit trouver sa dimension théâtrale à travers le récit proposé à la première personne du singulier et dont l’incarnation sur scène par Bibrowski en personne, doit engager un principe de conte joué, où le récitant témoigne lui-même de son propre récit. Un peu à la manière d’un film actif, réactivé par le souvenir du personnage central et dont le fil s’ordonne également dans le flux des images dessinées et la richesse des mélodies interprétées en direct.

Pour avoir moi-même et dans un précédent travail été influencé comme l’a été ici Xavier  Coste pour sa roman graphique par les personnages de Fedor Jeftichew (« Jo-Jo the Dog Faced Boy »), « Hector » ou Stephan Bibrowski (alias « Lionel »), est une de ces figures mythique issues des Sideshows chers à Phineas Taylor Barnum avec laquelle j’ai déjà travaillé. Outre le sensible et l’empathie immédiate vers laquelle le regard du spectateur peut se porter, il y a un profond mystère chez ces « Prodiges » des Freak Shows que l’acteur doit incarner dans son verbe saillant en laissant place à l’insondable. C’est tout l’enjeu de l’interprétation à laquelle je pense ici.

Je ne souhaite également pas oublier dans le vertige de ce voyage, la relation forte du récit ancré dans son époque, les années vingt à New-York, ces fameuses « Roaring Twenties » ou années dorées, celles des changements majeurs au coeur de la société américaine emmenées également par la fulgurance de l’architecture marquées par une urbanisation croissante. Les villes sont le théâtre de grandes mutations grâce notamment  le développement des gratte-ciels.

Je souhaite donc, outre l’architecture mentale du personnage central, proposer une scénographie « debout » à la manière de New-York que Louis Ferdinand Céline découvre par exemple dans son « Voyage au bout de la nuit ».

La mégalopole y apparaît inquiétante et menaçante dans une focalisation interne qui adopte le point de vue du personnage. Les cadrages adoptés et en particulier la contre-plongée mettent en valeur la monstruosité et insistent sur la déshumanisation des habitants. Ici la scénographie puisera dans la mémoire architecturale des années 20, afin de restituer d’une façon ou une autre cet égal vertige, la flamboyance Art-Déco, magnifiée par les vapeurs envoutantes de la musique et le récit de Bibrowski.

 

Renaud Cojo, Novembre 22

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